Rejoignez ce webinaire et rencontrez un groupe d'experts juridiques en droit international de l'environnement et des droits de l’homme qui évaluera pourquoi l'écocide doit être reconnu dans la directive européenne sur les crimes contre l'environnement et, plus largement, dans le Statut de Rome de la Cour pénale internationale. 

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Le panel débattra de questions philosophiques, juridiques, économiques et politiques qui soulignent l'importance de la loi écocide dans les politiques européennes, montrant que la reconnaissance de l'écocide est une demande de plus en plus populaire et nécessaire pour protéger l'avenir de la vie sur Terre.

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Panélistes :

Jojo Mehta : 

Co-fondatrice et directrice exécutive, Stop Ecocide International

Marie Toussaint :

Militante écologiste française, juriste en droit international de l'environnement, cofondatrice de l'association Notre affaire à tous, élue européenne des Verts/ALE et fondatrice de l'Alliance parlementaire internationale pour la reconnaissance des écocides.

Harriet Mackaill-Hill :

Coordinatrice de la politique de l'UE en matière de gouvernance climatique et de droits de l'homme, CAN Europe.

Olivier De Schutter :

Professeur de droits de l'homme à l'UCLouvain et à SciencesPo. 

Il est le rapporteur spécial des Nations unies sur l'extrême pauvreté et les droits de l'homme.

Modératrice : 

Chloé Mikolajcak

Activiste et militante pour la justice environnementale.

L'objectif de la mobilisation contre l'écocide en mars 2022 est de maintenir la pression sur les dirigeants et les institutions de l'UE pour qu'ils reconnaissent le crime d'écocide.

La proposition publiée par la Commission européenne pour la révision de la Directive sur les crimes environnementaux est insuffisante et incomplète.

Alors que 38% des réponses à la consultation publique demandaient la reconnaissance de l'écocide et que des États membres comme la Belgique et la Finlande progressent sur cette question, la Commission européenne s'entête et refuse de reconnaître, de définir et donc de condamner ces crimes environnementaux les plus graves, même si elle le mentionne brièvement dans la proposition.

Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne, a déclaré qu'il n'y avait pas encore de "sentiment d'urgence" dans la population pour reconnaître l'écocide. Montrons-lui qu'il y en a déjà un !

Le 7 décembre 2020 l’eau a été mise en bourse par la compagnie de gestion de la bourse de Chicago, la Chicago Mercantile Exchange (voir le reportage de France Inter .). 

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La financiarisation de ce bien vital aura des conséquences terribles pour des millions voire des milliards de personnes ne pouvant pas se payer de l'eau potable . C'est pourquoi après notre première action du 7 décembre dernier nous organisons un 2e rassemblement ce mardi 22 mars devant la Bourse de Bruxelles de 12h30 à 14h lors de la Journée Mondiale de l'Eau  

A l’initiative de l’Agora des Habitants de la Terre ( AHT) et le soutien du Forum Nord-Sud, de Rise for Climate Belgium, d'Attac Wallonie-Bruxelles, cet événement se tiendra autour d'une statue de la spoliation " "La Cueilleuse de Pluie" créée par l'écrivain et artiste Bernard Tirtiaux 

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Objectif: dénoncer la spoliation du droit universel à la vie et de l'eau en tant que bien commun public mondial opérée par la finance prédatrice actuelle et, dans cette perspective, soutenir les élus du Parlement Européen revendiquant la LIBERATION DE L'EAU DE LA BOURSE 

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La valeur de la vie doit être fixée par les citoyens et non pas par les marchés et les Bourses. Plus de détails dans la pétition lancée ICI

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Il est urgent de re -inventer la justice et la démocratie, de l’échelle locale à la communauté globale de vie de la Terre.
Commençons par libérer l’eau. Les prédateurs profitent de sa raréfaction alors que des pénuries d'eau provoquées par le dérèglement climatique , le gaspillage et la pollution s'accentuent sur toute la planète et menacent d'aggraver les génocides et les guerres pour l'eau. 

Action symbolique devant le Conseil de l'UE qui se réunira sous la présidence de Macron.

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Il est temps de changer les règles nationales, européennes et internationales et de protéger notre maison commune, la Terre!

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 Nous ne pouvons pas compter sur ces accords non contraignants des gouvernements, tels ceux de la COP.

Alors que l’Union européenne s’apprête à réviser son droit pénal de l’environnement, nous, citoyens, devons continuer à faire pression pour contraindre les institutions européennes à reconnaître l’écocide et protéger le vivant.

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Nous rejoignons Youth For Climate dans les rues  le 25 mars !  

"Cela fait maintenant plus de deux ans que nous faisons grève, et cela a eu un énorme impact politique.
Donc ce que nous faisons fonctionne. Mais nous devons continuer à le faire.
Cette grève mondiale se concentrera sur #PeopleNotProfit. En soulignant le fait que la lutte pour le climat est une lutte de classe et que, depuis des années, la classe dirigeante, principalement à travers les entreprises et les gouvernements du Nord global, a exercé son pouvoir, acquis par le colonialisme, la suprématie blanche et l'exploitation, pour détruire la terre et ses occupants sans remords. 
Ils ont délibérément sacrifié les écosystèmes et les peuples du Sud global au nom de leur soi-disant "développement" et de leur éternelle "croissance économique". Pendant ce temps, la classe ouvrière est utilisée comme des outils pour construire le système même qui les détruit. 
Alors nous refusons de faire partie de ce système et nous frappons à nouveau, dans tous les pays du monde. 
Rejoignez-nous à Bruxelles. Et n'oubliez pas d'amener des amis ! 

Le lieu exact et les autres détails pratiques seront annoncés prochainement !" YFC 

Dans le cadre de la semaine de lutte contre l'écocide intégré à la campagne "European march : Stop Ecocide everywhere !", Espirito Munodo organise une exposition de deux photographes engagés.

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 Wout de Rider, biologiste, et photographe - militant pour la protection de l'environnement. 

https://woutderidder.myportfolio.com/

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François Dvorak, photographe - reporter belge, activiste et militant, travaille sur les questions des droits humains et plus spécialement sur les mobilisations liées à l'écologie. 

https://fdvphotoreporter.wixsite.com/monsite/

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Cet événement évalue comment et pourquoi la reconnaissance de l'écocide comme un crime international soulève plusieurs questions pour les Etats, les citoyens mais aussi les acteurs économiques. En facilitant une discussion interdisciplinaire, End Ecocide Belgium et le projet de recherche ERC Curiae Virides de la Brussels School of Governance (VUB) visent à faire la lumière sur les principales implications de la reconnaissance de l'écocide comme crime contre l'humanité, ainsi que sur les opportunités de protection des écosystèmes. Le webinaire évaluera en particulier comment l'écocide s'inscrit progressivement dans l'agenda des décideurs politiques en Belgique et dans l'UE et comment de plus en plus de pays expriment leur soutien à l'inclusion de l'écocide dans le Statut de Rome.